Premiers constats

Les cons­tats de cette édition 2008


Au vu du pro­gramme, le pre­mier cons­tat doit être celui de la richesse et de la diver­sité des dis­ci­pli­nes pré­sen­tes lors de ces qua­tre jours de fes­ti­vité.

Le pays d’enfants sur scène est ouvert à tous les arts de la scène. Cette année le fes­ti­val le prouve en accueillant la danse et la musi­que au côté du théâ­tre sur le pla­teau d’ESCAPADE.

Au tra­vers des ate­liers le mime , la marion­nette et le cir­que ont pris bonne place, eux aussi, au sein de ce fes­ti­val.

La forte mobi­li­sa­tion des trou­pes d’ado­les­cents :

La majo­rité des trou­pes accueillies ras­sem­blaient des jeu­nes de 14 à 18 ans. A l’évidence, il appa­raît plus facile aux ani­ma­teurs d’orga­ni­ser (la par­ti­ci­pa­tion à ce type de pro­jet) avec des ado­les­cents plu­tôt qu’avec des enfants. Cette ten­dance s’accen­tue cette année, mais elle s’amorce depuis l’édition de 2005.

Cela peut poser une ques­tion concer­nant un pos­si­ble aban­don de la toute jeune géné­ra­tion. Comment mobi­li­ser ces enfants et de ce fait, leurs parents ? Comment dépas­ser l’influence d’une société de consom­ma­tion rapide et pas­sive qui joue évidemment son rôle dans le man­que d’inves­tis­se­ment de cette jeune géné­ra­tion ?

La fré­quen­ta­tion du fes­ti­val par les spec­ta­teurs

Hors fes­ti­va­liers, elle est res­tée sen­si­ble­ment la même en 2008 par rap­port à 2005 : cette mani­fes­ta­tion a donc bien une place, un rôle dans le pay­sage cultu­rel creu­sois.


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