Avec

Heyliette Quatrevaux, Clémence Tagand, Joris Guillemot, Mathieu Limouzin, Julia Trichard, Quentin Magnaval, Valentine Philippon, Ambre Quatrevaux, Noémie Truffinet, Cloé Maillard, Louise Lecreureur et la par­ti­ci­pa­tion de Vanessa Sicard

Mise en scène et adap­ta­tion : Colette Rivaud et Jean-Pierre Decressin

Décors et lumiè­­res : Jean-Pierre Decressin

« Tout est bien qui finit bien ! » Nous aime­rions tous faire de cette phrase un slo­gan, un man­tra, une phi­lo­so­phie de vie ! Mais il ne s’agit que d’une pièce écrite au début du XVIIème siè­cle.

Classée sou­vent dans les comé­dies « à pro­blème » parce que la pièce ne peut être consi­dé­rée ni comme une tra­gé­die ni comme une comé­die, c’est une des piè­ces de Shakespeare les moins jouées, en par­tie à cause de l’étrange mixité de logi­que de conte de fée et de réa­lisme cyni­que.

En l’écrivant W. Shakespeare n’ima­gi­nait pas que « cer­tains ori­gi­naux » la met­trait en scène cinq siè­cles plus tard.

Inspirés par le côté intem­po­rel, aussi funam­bu­les­que que bur­les­que du dra­ma­turge, "les ori­gi­naux" ont ainsi trans­posé cette his­toire dans un pays d’Orient. Exit l’Angleterre Elisabéthaine ! Si le roi malade porte tou­jours une cou­ronne, la com­tesse quant à elle est sans cor­set !

L’essence même de la pièce est pour­tant intacte puis­que sa cas­cade de stra­ta­gè­mes, qua­si­ment cra­pu­leux, rythme le spec­ta­cle !