Casimir revient auréolé de gloire mili­taire pour la plus grande joie d’une mère et d’une fian­cée. Mais c’est un cas Casimir, une catas­tro­phe, un casse-tête cos­mi­que, un casse-pied cata­clys­mi­que inter­si­dé­ral et sidé­rant…

« Sans l’azote, pas de 14 juillet, pas de fron­tiè­res, pas de beurre, pas de canons, pas de gaz, pas d’électricité, pas d’auto­bus, pas de mora­lité, pas d’héli­co­ptè­res, rien… l’anar­chie quoi ! »

Les cinq comé­diens de la troupe se ont embar­qués dans cet uni­vers avec force. Un texte mai­trisé, des com­po­si­tions de per­son­nage jus­tes, des voix posées, des corps au ser­vice du jeu… C’est avec maes­tria qu’ils ont achevé cette belle sai­son théâ­trale ! Jean-Pierre Decressin s’est régalé avec ses comé­diens et il a par­tagé ce plai­sir avec les spec­ta­teurs. Dans un décor à la fois sim­ple et d’une esthé­ti­que qui le carac­té­rise, le met­teur en scène du Théâtr’Ado a offert un écrin for­mi­da­ble aux comé­diens. Chacun a pu y trou­ver sa place en fai­sant appel à sa créa­ti­vité. Les cinq comé­diens, épaulés par la sala­riée de l’asso­cia­tion, ont pris une nou­velle dimen­sion dans leur jeu d’acteur.